Les portes de l'au-delà

Je ne suis pas là pour vous le faire croire mais pour vous le dire


Programme de réincarnation et génétique spirituelle

La différence génétique entre un chimpanzé et un être humain est de moins de 1%.
Ceci a fait que la science qui est dénommée déterminisme génétique, qui croyait que nous étions le résultat de nos gènes, s’est effondrée. Ces 23000 gènes étaient loin d’expliquer la production des protéines qui sont au nombre de 1 million.
Le décodage du génome humain est aussi venu démontrer que ce n’est pas dans la matière que se trouve l’origine des maladies. Le chef du projet « génome » , a déclaré : « ceci est un coup dur pour l’origine de notre espèce. Comment pouvons nous marcher la tête haute en sachant que le nombre de nos gènes est à peine supérieur à celui d’un ver. Ce n’est pas le code génétique qui détermine ce que nous sommes. »

( Le projet génome humain est un programme entrepris en 1990 dont la mission était d’établir le séquençage complet de l’ADN du génome humain. Son achèvement a été annoncé le 14 avril 2003.)


Le génome peut indiquer des possibilités de tomber malade mais il faut d’autres facteurs pour déclencher le mode d’expression des gènes. À partir de 2001, se sont développées des recherches pour démontrer que la génétique n’est pas la base de tout.



L’idée que seules les molécules physiques ont une action sur la physiologie
cellulaire est obsolète. Le comportement biologique peut être contrôlé par des
forces invisibles, y compris la pensée. Contrairement à ce que l’on croyait
jusqu’à présent, les gènes ne contrôlent pas leur propre activité. 
Les gènes peuvent être inhibés ou activés selon ce que nous pensons. Ce sont des protéines de la membrane, fonctionnant en réaction aux signaux de l’environnement captés par des récepteurs de la membrane qui « contrôlent » la lecture des gènes.
Du fait de nos pensées et de nos sentiments, notre cerveau produit les substances qui seront captées par les membranes cellulaires.
Si nous sommes heureux, nous transmettons cet état de bonheur à nos cellules.
Elles travaillent alors en faveur de notre santé. Au contraire, lorsque nous sommes dépressifs, tristes, l’ordre que nous donnons à nos cellules sera négatif, et elles travailleront tristement. Elles n’auront plus la capacité de se battre contre les germes, contre les cellules cancéreuses, laissant le champ au développement des maladies.
La génétique spirituelle, elle, va expliquer l’héritage que nous apportons pour
développer la santé en fonction de nos actions face aux difficultés de la vie. c’est L’ADN qui agit sous le commandement de l’Esprit, selon la loi de cause à effet, et qui exprime la condition de santé ou de maladie de l’individu.



L’action des « généticiens spirituels », donne à l’Esprit le matériel le plus
adapté à son « génotype spirituel » comme si l’ADN traçait le parcours de son
voyage d’évolution.
Il nous donne des possibilités de développer certaines maladies ou pas. C’est pour ça qu’on voit des familles de dépressifs, des familles avec des problèmes
cardiaques, des familles de cancéreux. Nous apportons cet héritage, mais le
développement des maladies dépend de notre choix et pas parce que c’est inscrit dans notre carte génétique mais parce que nous devons passer par ces épreuves.
C’est pourquoi des frères peuvent avoir des comportements divergents, et une santé très différente : l’un est en bonne santé, et l’autre malade. La génétique est très importante, mais elle n’est qu’un facteur dans le développement de nos maladies.
Nous, Esprit immortel, allons choisir notre bagage génétique. Avant de nous
réincarner, nous allons choisir le corps dans lequel nous allons habiter, parce que le corps a une action sur l’action de l’Esprit, c’est pour ça que Kardec a fait une distinction entre Esprit et âme, parce que l’âme c’est l’Esprit incarné, et la matière a une influence sur l’Esprit, et l’Esprit a une influence sur la matière.
Les lois de Dieu sont universelles, et cela nous permet de comprendre que bien qu’ayant sélectionné les spermatozoïdes en laboratoire, c’est nous-même qui allons stimuler ce spermatozoïde pour pouvoir amener le bagage génétique dont nous aurons besoin. Certains médecins croient qu’ils peuvent choisir les gènes, les chromosomes ou les spermatozoïdes en laboratoire. Mais beaucoup de fertilisations n’aboutissent pas. Elles n’aboutiront en laboratoire que sous l’influence des êtres qui se réincarnent.



L’âme ressurgit dans l’équipement physique, en transportant avec elle ses
propres failles qui se reflètent alors dans le vêtement de chair, sous la forme
de zones favorables à l’éclosion de certaines maladies, ce qui a pour effet
d’offrir un champ propice au développement de virus, de bacilles et de
bactéries innombrables, capables de la conduire aux plus grandes
souffrances, en accord avec les débits qu’elle a contractés.
Mais elle porte également, les facultés de créer dans son propre milieu
organique toutes les espèces d’anticorps, s’immunisant contre les exigences
de la chair.
Ces facultés, elle peut considérablement les accroître, par la prière, par les
disciplines rectificatrices, auxquelles elle s’attache, par la résistance mentale,
ou par le service dédié à son prochain, avec lequel elle attire de précieuses
ressources en sa faveur. »
Nous ne pouvons oublier que le bien est le véritable antidote du mal. Nous
apportons avec nous la possibilité d’avoir dans notre héritage ces maladies mais c’est par notre comportement que nous pouvons modifier cela et ne pas développer ces maladies.



On va comprendre que grâce à son magnétisme, l’Esprit attire ou modifie les
gènes dont il a besoin pour exécuter la planification de son incarnation, à la
recherche de son progrès spirituel.
C’est donc l’Esprit qui imprime sur les cellules du corps le code génétique
dont il a besoin, qui sont toujours le résultat des choix heureux ou malheureux qu’il a fait tout au long de sa trajectoire, mais aussi de l’importance de la tâche qu’il doit remplir.



Le repentir est le premier pas vers l’amélioration; mais il ne suffit pas, il faut
encore l’expiation et la réparation. Repentance, expiation, et réparation, sont
les trois conditions nécessaires, pour effacer les traces d’une faute et de ses
conséquences.
Lorsque nous endommageons notre corps physique, nous retournons dans le
monde spirituel et nous avons la conscience de notre erreur, nous demandons alors une nouvelle opportunité, avec un corps déficient, avec des déficiences qui pourront se développer pour réparer cette erreur. Par conséquent, dans les réincarnations futures, notre périsprit transmettra dans le nouveau corps physique :
– la mauvaise santé, la surdité, la cécité, le cancer, la folie, les malformations,
– ou la beauté, la santé, l’optimisme, l’harmonie, l’équilibre organique.


Nous sommes les conducteurs de notre propre destin.



« Pour l’homme sur terre, la santé peut signifier l’équilibre parfait des organes physiques, mais pour le plan spirituel, la santé est la parfaite
harmonie de l’âme, et pour l’obtenir, très souvent, il est nécessaire de faire
appel à la contribution précieuse des maladies et aux déficiences transitoires
de la terre. 
C’est ce que l’on appelle la loi du retour.

 Les biophores sont des unités de force psychosomatiques qui
agissent dans le cytoplasme en projetant sur les cellules, les états d’esprits
qui ennobliront ou aggraveront sa condition, selon qu’il choisira de faire le
bien, ou de faire le mal. 
La psychoneuroimmunologie nous traduit cela, elle démontre que nos pensées
ont une importance fondamentale sur notre qualité de vie, pour avoir un corps sain ou un corps malade.
Nous ne nous alimentons pas seulement d’aliments, nous nous alimentons aussi de nos émotions, parce que nous émettons des ondes mentales, qui rejaillissent sur nous-mêmes.



La pensée est une énergie pure revêtue de nos émotions.
La pensée déverse sur les tissus de l’organisme les émanations de ses
déséquilibres, en imprimant les maladies sur sa constitution physique, en
détruisant l’harmonie des cellules matérielles et en provoquant ainsi les
maladies. 



La pensée engendre les infracorpuscules ou les lignes de force du monde
sous-atomique, créateur des courants du bien et du mal, de la grandeur ou de
la décadence, de la vie ou de la mort, selon la volonté qui l’extériorise ou la
dirige.


Les pensées trouvent leur origine dans l’être spirituel, et à mesure qu’elles
sont transférées, vers les zones de la sensation, de l’émotion et de l’action,
elles impriment leurs contenus sur les cellules du corps physique, en
entraînant des résultats selon la qualité de l’onde mentale :
Si la teneur vibratoire est positive, les cellules de l’organisme sont fortifiées, et entraînent la santé ; mais si elle est négative, l’harmonie entre les cellules
disparaît, en entraînant la maladie.


L’éducation pour la santé nous est présentée par la doctrine spirite parce
qu’elle réunit la science et la religion parce qu’elle nous apporte les éléments
éducatifs essentiels pour prévenir les maladies de l’âme et construire ou
reconquérir la santé du corps et de l’âme.


Dans l’ADN, se trouvent les prédispositions qui seront activées, inhibées, ou
renforcées selon l’état mental, émotionnel et comportemental de l’esprit, qu’il
déterminera selon son libre arbitre, au cours de sa réincarnation. »
En fonction de notre état mental ou de nos émotions, nous allons faire en sorte que ces maladies vont se déclarer ou garder notre santé.


C’est ainsi que s’exprime la miséricorde divine, qui laisse l’homme vivre non
pas dans un régime de fatalité, mais dans l’action et la réaction.
Ainsi nous pouvons comprendre que les gènes déterminent une route, un chemin, mais cette route, ou ce chemin peut être allégé, soulagé, ou bien aggravé, en fonction de l’environnement et de notre comportement



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