Les portes de l'au-delà

Je ne suis pas là pour vous le faire croire mais pour vous le dire


Le karma

L’IMPORTANCE DE DÉFINIR LES TERMES

Le karma (action en langue sanskrite), est compris comme une relation cause à effets, dans laquelle tout le bien ou mal commis dans les vies passées nous revient comme par effet boomerang dans cette vie ou dans une autre : c’est alors un bon ou un mauvais karma.
Souvent considéré comme un karma négatif comme une punition. Ce qui reviendrait plus au fatalisme, fatalité exagérée.
Du point de vue spirit, il faut le voir  autrement, et non pas voir comme des fatalités à subir ni comme des excuses pour ne pas agir.

UNE THÉORIE QUI S’EFFONDRE SUR ELLE MÊME
Un temps il était définit par : “l’ensemble des actes d’un être vivant au cours de son existence et qui déterminent son destin” , loin du sens qu’on lui attribue aujourd’hui qui est plutôt dans l’extrême et même au contraire de sa définition initiale surtout en Occident.
Chez les bouddhistes le karma se résume par “arriver à sortir du cycle des incarnations appelé samsara pour ne plus être dans l’obligation de revenir sur Terre et y subir la souffrance”. Pour cela l’être humain doit passer par des règles de bonnes conduites (dharma) pour atteindre l’éveil (nirvana) état suprême  qui finit par le sortir du cycle.
La loi du karma propose donc de résoudre le problème de l’origine du mal de la vie présente en le justifiant par le paiement obligatoire de fautes commises dans des vies antérieures.  Ainsi, les inégalités observées sur cette terre, maladies, accidents, famines, malformations, s expliqueraient par le cumul de mauvais karma des vies antérieures. Il y a cette idée que nous récoltons ce que nous semons (beaucoup trop d’ailleurs).
Nous pourrions aussi subir des karmas collectifs, car nous serions enfermés dans différents niveaux : personnel, familial, régional, mondial. En suivant tout le cheminement de ce point de vue nous pourrions donc être tenté de ne plus nous émouvoir  devant des enfants privés d’enfance, transformés en esclaves pour le plus grand bien être de personne à la vie heureuse et aisées dans la surconsommation, qui elles, ont l’air d’avoir payé toutes leurs dettes des vies passées. IL nous faudrait également laisser les miséreux et les souffrants payés leurs dus, intervenir serait entraver leur destinée et leur évolution en les empêchant de rembourser leur dettes ….

Quel est dans tous ça la logique et le bien fondé du karma ? y en a pas. La fossilisation et l’exagération d’un concept mal interprété.
Effectivement nous répandons le mal par le mal, ainsi est la loi de talion qui est ma foi  largement acceptée. nous avons aussi l’habitude de punir par exemple les adultes mis en prison pour tout acte répréhensible mais sans plus de suivi et d’explication, la société est vengeresse.
Or, nous être humain, nous avons tout de même une lueur d’intelligence que l évolution ne se fait pas par un coups de bâton ni d’enfermement dans la terreur mais dans la compréhension et l’explication tout dans l’amour de son prochain.
Le karma a été inventé par l’homme pour se justifier et de donner un sens aux erreurs humaines et enlever ainsi dire le libre arbitre.
En plus le karma est contradictoire … pourquoi payé les fautes alors que tout est écrit…..
Le karma est vraiment évoqué comme fataliste, de souffrances multiples, pour arriver à l’ultime: en clair certains d’entre nous sont punis pour toujours à être dans des souffrances absurdes pendant toues ses incarnations : ce qui est complètement controverses avec la logique des incarnations.

LE POINT DE VUE OBJECTIF
Les conséquences de nos actes ne sont pas une punition brute et méchante à la hauteur du mal que l’on a pu faire ici ou une autre vie. Le mal ne peut s’annuler par le mal, mais par le bien.  L’esprit dans l’au delà pourra après une prise de conscience sous la bienveillance de son guide passer un examen de conscience. Il tentera de comprendre ses erreurs, son errements pour ne plus les répéter pour après dans une autre vie de changer le mal par le bien. Et il ne faut pas confondre l’instant présent avec l’au delà il n’y a pas la même façon de faire. Il faut se le mettre dans le crâne que ici sur notre terre nous pensons pas la même façon il suffit de prendre conscience que nous somme tous des esprits incarnés pour apprendre de nos fautes et de nos erreurs. après nous comprenons tout et soyons logique…
Apprenons juste de nos erreurs pour évoluer.
S ENTRAIDER POUR BRISER LES CHAINES DU DOGME

Le dogme ici est le “karma”. Je comprends que beaucoup de personnes pensent qu’elles ont un mauvais karma dus à des défaites dans leur vie et que nous sommes dans une planète aussi peu évoluée. Le pouvoir de l’amour et de l’entraide permet d’ouvrir l’empathie pour chacun de nous pour éviter de faire fondre les gens dans des idées absurdes telles que le Karma,; les encourager à remonter la pente et d’éviter de lui faire croire aux mauvais sorts.
Il est toujours bon de prendre toute observation, tout étude dans toute religion, toute pensée, tout cela fait dans le respect et dans la communication. Car aucune religion, aucune philosophie, aucun mouvement n’a la vérité absolue !
Suggérer aux personnes une autre vision des choses, des vies antérieures, est la meilleure solution.
CONCLUSION
Il en va des vies successives comme une seule vie dans l’alternance du jour et de la nuit, à plus petite échelle. Le jour nous expérimentons ; le soir, nous pouvons faire un point sur ce qui s’est passé dans la journée, dans une introspection. Puis, avant de nous endormir demander à notre guide nos guides, de nous apporter des conseils, de belles rencontres, de nous soutenir, et des conseils dans notre voyages nocturnes, et d’en garder le plus fort souvenir lors du retour au quotidien. La nuit venue, nous vivons une petite mort, nous traversons parfois le tunnel de l’au delà pour respirer. Nous traçons alors un chemin lumineux qui nous mènes à nos guides afin de réajuster nos missions de vie, apaiser nos angoisse. Au lendemain, au réveil, point de punition dans cette nouvelle petite réincarnation, point de karma, point de dettes, simplement nos histoires humaines, nos rencontres, nos erreurs, des leçons pour nous améliorer, dans l’amour et la compréhension du prochain, le temps d’une vie, les temps de plusieurs vies.

Photo de Rodrigo Souza sur Pexels.com


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