Les portes de l'au-delà

Je ne suis pas là pour vous le faire croire mais pour vous le dire


Le droit au bonheur

Le grand poète mystique persan Roumi proclamait cette vérité : « Ne demande pas l’eau, demande la soif et les sources se mettront à jaillir du sol et à jaillir du ciel ».

La soif c’est le désir des hommes qui aspirent à la paix universelle dans une solidarité, une fraternité d’un bout à l’autre de notre planète dans un principe de sagesse et d’amour les uns envers les autres. Ce principe de sagesse et d’amour nous mobilise, nous stimule pour enrayer dans les mentalités la violence sous toutes ses formes, la pauvreté banalisée, et la dégradation de la nature par une science non contrôlée souvent ni par la logique de la raison, ni par la conscience émanant d’une lumière engendrée par l’amour, la charité et la bonté.

Une question fondamentale se pose : comment vivre en paix ? Comment respecter la dignité et le droit de vivre décemment pour chacun des enfants de Dieu sur cette Terre ?

Devons-nous laisser sacrifier des millions d’êtres au bénéfice de la masse ou de l’appétit de quelques minorités d’hommes de pouvoirs ou de décisions égoïstes, inhumaines pour réduire des foules de gens à rester esclaves des marchés économiques ?

C’est ainsi que beaucoup trop de nos frères en humanité restent des marginaux, laissés au bord des routes dans des systèmes de société sans aucun respect. Ce droit à vivre heureux, ce droit au bonheur pour tous, s’oppose de fait aux lois divines. Nos espérances communes se trouvent dans l’élément spirituel qu’aucun d’entre nous ne saurait négliger. Nous demandons, nous spirites, que les hommes de pouvoir, en raison du rôle qui leur est confié par la divine providence se réunissent afin de discuter sur : l’abolition de tous les conflits armés,

 

l’abolition des contraintes économiques qui engendrent misères, désolations, violences, l’élimination de la pauvreté et du chômage, la préservation de la nature, la généralisation du pardon et de la réconciliation.

 

Notre monde a surtout besoin d’hommes de bonne volonté au service de notre humanité et de l’évolution de notre planète, pouvant accéder aux hautes vérités fraternelles d’amour et de charité pour tous et pour chacun.

 

Vous tous, hommes de foi et de bonne volonté, travaillez donc avec zèle et courage au grand œuvre de la régénération, car vous recueillerez au centuple le grain que vous aurez semé. Malheur à ceux qui ferment les yeux à la lumière, car ils se préparent de longs siècles de ténèbres et de déception ; malheur à ceux qui mettent toutes les joies dans les biens de ce monde, car ils endureront plus de privations

qu’ils n’auront eu de jouissances ; malheur surtout aux égoïstes, car ils ne trouveront personne pour les aider à porter le fardeau de leurs misères.

 

Photo de Rachel Claire sur Pexels.com


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